Premières expériences et engrenages : Chapitre 6 Engrenage 1/2

Catégories : CBT Ballbusting Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 1 an

Chapitre 6 : Engrenage 1/2

Je cherchais n’importe quel autre papier, ressemblant plus ou moins à du chantage, mais je ne trouvais rien. Peut-être ne pensait-elle-même pas à cela. Pourquoi m’avoir alors envoyé ces photos ? Pensait-elle que cela m’exciterait ? Ce n’était pas le cas. Enfin un peu si, au milieu de cette terreur de … et puis après ? Il n’y avait ni consigne, ni information. Il était l’heure de mon prochain cours. Je laissai tout comme çà et je partis pour mon école.

Quand les examens auraient lieu, j’étais certain que si cela tombait sur le cours d’aujourd’hui, j’aurai une mauvaise note. Toute la journée, j’étais incapable de penser à autre chose qu’elle. Elle habitait près de chez moi et connaissait mon adresse.

Si elle m’avait offert des jouets, et je me doutais qu’ils n’étaient pas abordables, c’est qu’elle voulait encore jouer avec moi, et pas seulement par écran interposé. Je retournai tout cela dans ma tête. Elle avait des photos de moi. C’était encore plus difficile de ne pas savoir ce qu’elle comptait en faire, si ce n’était pas déjà fait. Que ferait-elle si je ne voulais pas aller plus loin ? Maintenant qu’elle me les avait offerts, pouvais-je lui rendre ? Je me trouvais redevable et je ne savais pas combien cela me coûterait. Et je ne parlai pas d’argent, pris entre l’inquiétude et l’excitation.

Le soir même, j’allumai mon ordinateur et cherchai à savoir si elle était en ligne. Je n’avais pas prévu m’amuser ce soir-là. Je voulais juste discuter. Elle était là ; elle m’attendait.

  • Bon anniversaire, me chatta-t-elle.
  • Merci, maitresse. J’ai bien reçu vos cadeaux, mais je ne peux pas les accepter, commençai-je à taper.
  • Si ! Tu vas les accepter ! Tu ne vas pas commencer à désobéir à ta maitresse, à notre seconde rencontre.
  • C’est plus que je ne peux te donner, poursuivis-je en chat, en la tutoyant volontairement.

En cours, j’avais vu les niveaux d’échanges et je voulais passer d’un mode parent vers enfant rebelle à celui d’adulte vers adulte. Pour cela il fallait que je sois pragmatique, que je ne me plaigne ni ne m’excuse.

  • Allume ta cam ! Ne joue pas les timides. Je ne vais pas coller ma photo de toi les couilles pendantes sur mon écran pour penser à toi.

Ce discret rappel, à ce qu’elle possédait de moi, m’aiguillonna. Je ne voulais plus l’affronter. J’allumai la caméra en souriant. Si l’adulte ou l’enfant rebelle ne fonctionne pas, essayons pour un temps l’enfant soumis.

  • J’ai bien reçu vos cadeaux, maitresse, me repris-je en la vouvoyant à nouveaux. Je suis très honoré mais je ne les mérite pas.

J’avais centré la webcam sur mon visage. Elle avait déjà eu plus que je ne voulais.

  • C’est vrai, mais je vais t’apprendre à les mériter par l’obéissance. Nous allons pouvoir jouer maintenant. Je hochai la tête.
  • Ce soir, nous n’allons pas jouer seul. Je veux que tu mettes ta caméra en position public, mais avant et, connaissant ta timidité, tu vas mettre une des cagoules que je t’ai offertes.

Les jouets encore disposés sur la table de la pièce principale avec l’ordinateur, j’enfilai ma cagoule rapidement avant qu’elle ne change d’avis. Je choisissais celle en cuir et en métal plutôt que la toute simple en tissu dont je craignais qu’elle ne me gratte. Je la laverai dans l’évier. Il me faudra trouver de l’adoucissant, pensai-je avec décalage, déjà convaincu que nos jeux se prolongeraient à notre bon plaisir. En fait la cagoule de tissu me rappelait celle que je portais à l’école primaire les jours de neige.

  • Retire tous tes vêtements, s’inscrivit sur l’écran.

J’ajustai la position de ma caméra pour montrer mon corps. Je mis la caméra en partagé en espérant que personne ne se connecte et je commençai à me déshabiller. Ladyscar attendit de longues minutes alors que j’étais à la vue de tous et j’essayai de ne pas faire attention aux nombreuses personnes qui maintenant se connectaient, ni aux messages qu’ils m’envoyaient : compliments, contacts, questions, ordres et demandes d’accéder à leur propre webcam.

Quelque part c’était facile, car ils parlaient tous anglais et je restais concentré sur les messages de Ladyscar.

  • Attache quelques pinces à linge et joue avec me demanda-t-elle.

Je me rendis compte que je n’avais pas la tête à cela. Je ne bandais pas. Je ne m’excitais pas. Je voulais éteindre ma caméra et faire croire à une panne mais cela ne serait jamais crû et je repensais à cette épée de Damoclès. Ladyscar dut le sentir ou plus probablement le voir à mon sexe pendouillant.

  • C’est parce que d’autres personnes te regardent ?
  • Non, répondis-je en tapant bien que mon micro soit branché, me démentant en quelques sorte.
  • Je ne suis pas là pour jouer la psychologue, alors redresse-la ! Tape-la autant de fois que nécessaire, sinon tu vas vraiment souffrir. C’est peut-être la cagoule qui te gêne ? Dois-je te demander de l’ôter ?

Derrière ces mots, je sentis la colère monter en elle. Cela m’avait excité, plus que les quelques claques que je donnais à mon pénis. Se redressant fièrement, j’attendis de nouveaux ordres.

  • Mets-toi les grosses pinces sur ta bite avant qu’elle ne débande. Puis toutes les autres sur tes bras, tes cuisses, ta poitrine. Après on va jouer avec ta bougie, alors allume-la !

Je mis les pinces. Je sentis que l’une d’entre elle m’agressait particulièrement. Je faillis la remettre dans une position moins douloureuse comme je l’aurai fait seul, mais je me retins. Elle n’apprécierait pas et la souffrance m’aiderait à garder cette excitation malgré les dizaines de pseudonymes masculins fixes qui restaient attachés à mes spectateurs. J’allumai ensuite la grosse bougie rouge.

  • En attendant qu’elle chauffe, on peut utiliser l’un des deux godes, ajouta-t-elle, tandis que la flamme se mouvait sensuellement sur la bougie dont la forme, malgré sa largeur, me faisait penser à un phallus.

Je lui montrais les deux godes, issus de la boite, en mettant légèrement devant celui plus cylindrique qui ressemblait à un sexe masculin. Elle choisit l’autre celui qu’on appelle un plug, à la forme conique, que je redoutais. Elle m’expliquait qu’avec sa forme, il resterait enfoncé dans mon cul tandis qu’elle pourrait me donner d’autres ordres, que l’autre servait plus à une utilisation active. J’essayai d’emmagasiner toutes ces informations comme un élève attentif.

Il était large et il me fallut près de cinq minutes pour que je me l’enfonce.

Ladyscar tapait en anglais pour les autres personnes qui nous avait rejoints. Elle leur expliquait que j’étais puceau du cul, enfin c’est ce que je comprenais quand je vis leurs encouragements. C’est la première fois que je faisais attention aux pseudonymes qui me regardaient. Surtout leur nombre qui n’arrêtait pas d’augmenter depuis que mon corps se recouvrait de jouets. Ils étaient maintenant plus d’une vingtaine.

La plupart des pseudos relatait à la domination, l’homosexualité mais aussi certain la soumission. L’un même allégua qu’il ferait un bien meilleur soumis que moi. Elle me demanda de le bannir, ce que je fis. Un de moins.

Si ma cagoule recouvrait un visage un peu quelconque, mon corps imberbe, asexué, naturel, paraissait attirant aux goûts de certaines personnes. J’avais bien quelques poils pubiens mais rien ailleurs, ni sur le visage malgré mes dix-huit ans, ni sous les aisselles et encore moins sur les jambes ou le torse. Plus le temps avançait plus les spectateurs augmentaient.

Quelques pseudos féminins étaient apparus et j’aurai voulu les noter, prendre contact, mais j’étais certain que Ladyscar le saurait, le verrait. Depuis la découverte de mon nom et de mon adresse, j’étais convaincu que je ne pourrais jamais rien lui cacher. Le plug termina sa course, entrant brutalement plus loin que je ne me l’étais imaginé. Un couinement peu masculin sortit de ma bouche. Mes fesses se contractèrent et se durcirent. Obéissant aveuglément à Ladyscar, je me sentis vraiment comme un animal dompté et en même temps excité d’avance à lui faire plaisir.

Je n’attendais aucune autre récompense qu’un simple « bien » comme celui qu’elle venait d’envoyer.

Même cagoulé, en public, on change résolument de registre.
La relation va vraiment commencée, le lien inévitablement se former...
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